Jeudi le 28 février, la sortie prévue de Montréal en Lumière a eu lieu tel que planifiée. Une douzaine de braves ont fait fi du froid et sont venus photographier les activités au centre-ville. Par rapport aux années passées, plusieurs attractions, tel la glissade, ont été déplacées et cela a eu un impact que je qualifierais de négatif sur les compositions possibles. Moins d’éléments lumineux étaient aussi une autre constatation.

Je crois que le groupe a pu faire de bonnes photos, cela reste encore à prouver, mais probablement moins que les autres années. En tout cas, ce fut le cas pour moi. La grande roue (petite au sens de Louis…) est toujours un point d’ancrage pour les photos de ce site.

Au cours des prochains jours, veuillez regarder les photos qui apparaîtront dans le dossier Montréal en Lumière pour faire votre propre constat!

Daniel G.

Nous étions 20 photographes pour la sortie à la Basilique Notre-Dame de Montréal, lundi 11 février dernier. 

 C’est dans une atmosphère feutrée et silencieuse que nous avons pu déambuler avec nos trépieds pour capter la lumière et la chaleur de ce lieu riche en couleurs et textures. Pour certains, cette soirée s’est poursuivie avec le spectacle sons et lumières Aura et s’est couronnée avec un sympathique souper dans le vieux Montréal. Les quelques photos jointes témoignent facilement de cette très belle soirée.

Samedi le 15 décembre, un groupe d’une quinzaine de personnes ont bravé le froid intense de 1 degré pour sillonner les rues du Village d‘Antan de Drummondville. Dès notre arrivée à 16 heures, nous avons pu exploiter la lumière de l’heure bleue. Par la suite, le groupe s’est dispersé dans le village à la recherche du cliché parfait. Emballés à l’idée de pouvoir explorer l’endroit, tous ont oublié la traditionnelle photo de groupe. Sans doute devrons-nous y retourner!
Longues expositions, light painting, zoom-in, zoom-out, filés de lumière, flous de bougé ne sont que quelques-unes des techniques que nous avons abondamment exploitées.À l’arrivée des visiteurs à 17 heures, nous avons alors profité d’une belle ambiance festive. Chants de Noël, cris d’enfants, rires et amuseurs de foule nous entouraient.

L’expérience était à ce point inspirante que certains d’entre nous ont quitté à la fermeture de l’endroit.

Une belle sortie d’hiver!

Le dimanche 2 décembre, seize membres se sont portés volontaires pour être incarcérés à la prison Winter de Sherbrooke! Le gardien de prison a été Jarold Dumouchel, complétant sa conférence sur l’urbex par un exercice pratique.

Ouverte en 1870 et complétée en 1872, la prison compte 51 cellules, dont une aile de trois cellules pour les femmes. On y retrouvait également une cellule d’isolement, un parloir, une chapelle et une infirmerie. Dès son ouverture, l’établissement carcéral se voit attitré de la réputation déplorable de la prison la plus insalubre du Québec^[1].

Les prisonniers temporaires ont pu constater la vérité de cette affirmation. L’étroitesse des cellules notamment permet d’y croire aisément. Néanmoins, les photographes se sont dispersés dans l’établissement et ont réalisé des images variées et intéressantes. Les images sont regroupées dans l’album de la sortie publié sur Facebook.

Utilisant plusieurs techniques, longues expositions, light painting, flash, macrophotographie, etc. les membres ont réalisé des œuvres variées, incluant des mises en situation avec des personnages.

La température peu clémente, pluie et verglas, a rendu la prise de vue extérieure peu engageante. Après quatre heures à l’intérieur, il y avait encore des prises de vue à faire! Le consensus est qu’il serait intéressant d’y retourner avec idéalement une bonne lumière pour compléter la série intérieure et documenter aussi l’extérieur du bâtiment. Un rendez-vous possible pour l’an prochain!

[1]Extrait du site de Jarold Dumouchel, https://www.urbexplayground.com/fr/urbex/winter-la-prison-abandonn%C3%A9e-de-sherbrooke

Une douzaine de photographes ont bravé les premiers froids de novembre pour explorer les lieux entourant les écluses de Saint-Lambert.

En effet, nous pouvions choisir de nous diriger vers la droite pour se rendre tout près du circuit Gilles Villeneuve ou vers la gauche en direction du pont Champlain.

Plusieurs photographes ont fait le choix vers la droite et ils y ont découvert des architectures intéressantes et aussi des points de vue exceptionnels sur Montréal.

D’autres ont choisi de marcher presque 4km pour se rendre près du pont Champlain. Leurs efforts ont été récompensés par des points de vue uniques et impressionnants, sur la construction du nouveau pont Champlain.

En conclusion, cet endroit offre plusieurs options et il faut y retourner plus d’une fois…préférablement par une température plus douce !

Nous étions plus d’une quinzaine de photographes venus profiter de cette  belle journée ensoleillée d’automne en visitant le site de ´Création-sur-le-champs, Land art’ du Mont St-Hilaire.

Ce magnifique parcours nous a permis de visiter 9 œuvres d’artistes en nature, parfois dans un verger, un sous bois, une pinède et près d’un étang.  Notre défi était d’essayer d’être créatif, nous aussi, en exploitant les nombreuses fonctions de nos caméras ou dans le post traitement de nos photos (noir et blanc, flou de bougé, surimpression, HDR etc…).  Le tout s’est terminé devant un bon café chaud, le temps d’échanger sur notre sortie, nos essais créatifs ou tout simplement sur notre passion de la photo !

Sympathique et agréable résume bien cette randonnée dans le parcours de ´Création-sur-le-champs, Land art’ du Mont St-Hilaire.